Commentaire de Joseph Rouzel le 29 mars 2013 à 10:00

Mon amie Martine Blanchard, qui est mosaïste, formatrice à Psychasoc, et travaille avec des personnes dites "handicapées mentales" a un site sur Facebook où elle présente son travail. A voir...

https://www.facebook.com/pages/Martine-Blanchard/511879475521516

Commentaire de Joseph Rouzel le 29 mars 2013 à 13:31

Martine sera présente et interviendra au 4e Congrès "Travail social et psychanalyse" d'octobre prochain à Montpellier.

Commentaire de Alain le 30 mars 2013 à 9:36

bonjour Christine 

Commentaire de Rozenn le 30 mars 2013 à 19:04

Je viens de regarder les mosaïques de Martine Blanchard, c'est magnifique !

Commentaire de Rozenn le 30 mars 2013 à 19:14

tant que j'y sis, si quelqun veut voir un aperçu de mon travail personnel en peinture (et sculpture)  , c'est par là : http://www.facebook.com/pages/Artiste-peintre-Rozenn-CARIS/10150100...

j'ai aussi une activité avec des personnes dites  "handicapées mentales" (mais pas handicapées du trait, de la couleur, ni de l'émotion).  Atelier sous forme "aller voir une exposition-peindre après".  Pas d'images sur le net ... peut-être une expo cette année (j'y travaille, avec des questionnements).

Commentaire de Joseph Rouzel le 1 avril 2013 à 7:48

J'aime beaucoup les volutes... C'est comme ça qu'on dit? 

Commentaire de Rozenn le 1 avril 2013 à 23:35

merci Joseph et Olivers , pour vos commentaires

on dit comme on veut Joseph

Commentaire de Rozenn le 4 avril 2013 à 13:44

histoire de s'amuser un peu

clic

Commentaire de Joseph Rouzel le 4 avril 2013 à 14:41

C'est rigolo, mais est-ce de l'art ou ... du lard?

Commentaire de Alain le 5 avril 2013 à 23:39

La question de savoir pourquoi l’art dit abstrait nous paraît tellement énigmatique,  Maldiney répond que ce n’est pas surprenant, dans un monde qui est sous l’empire de la logique, toute chose se bornant à n’être rien d’autre que ce qu’en dit sa définition, laquelle peut s’avérer être très précise, mais précision n’est pas vérité ! Il n’en reste pas moins que nous gardons la nostalgie d’un autre rapport aux choses, dont l’auteur nous donne l’un ou l’autre exemple. Déjà ici le réel et l’idéal se trouvent opposés. C’est du réel dont nous sommes en manque, les objets dont nous nous gavons n’étant certainement pas en mesure de nous combler....Et comme Maldiney le dit aussi, les gens sont tentés par toutes sortes d’expédients pour redevenir « vivants », quelquefois même au risque de leur vie.
Si les peintres ont délaissé les paysages, c’est en bonne partie parce qu’il n’y trouvent plus le réel. Et c’est cela que nous nous évertuons à ne pas vouloir comprendre. La peinture moderne (puisque c’est d’elle dont il s’agit) est « une tentative pour surmonter l’aliénation réciproque de l’homme et du monde ».

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